Oh, Cochinchinois des vers azuréens, que votre lancinement adverbiale jointoie les larmes à mes crochets naseaux,
Que votre magnificence prosaïque attire en moi les flammes de poètes pissenlitesques et pâquerettesques (pas facile à dire celui-là xD)!
Mais ne vous inquiétez pas, chaque départ est un nouveau retour, et face à l'éternel, il n'y a qu'une continuité des sentiments.
Que la nouvelle année commence sous les meilleurs auspices!
Ah bientôt en ventre-y-glisse,
Laurier de Lys